François Rastier définit le texte comme « une suite linguistique autonome (orale ou écrite) constituant une unité empirique, et produite par un ou plusieurs énonciateurs dans une pratique sociale attestée » (François Rastier, 2001, Arts et sciences du texte, Paris, PUF, page 302).
↑Paullus in medio foro jam paene basilicam texuit iisdem antiquis columnis [1] [archive] Ciceron, Ad Atticum, 4,16, 14, Lettre CXLIX - page 306
↑ « epistolas quotidianis verbis texere solemus » Ciceron, Lettres : Ad Familiares, IX, 21, lettre DCLVIII [2] [archive]
↑ « quantumque interest, sensus idem quibus verbis efferatur, tantum, verba eadem qua in compositione vel in textu jungantur = (autant la valeur de la pensée varie suivant les mots qui l'expriment, autant celle des mots varie selon leur harmonie et selon leur agencement) - Quintilien De l'Institution oratoire Livre IX, ch. 4 De compositione (De l'arrangement des mots) [3] [archive] page 326, ou page 392 ibidem « Historia non tam finitos numeros, quam orbem quemdam contextumque desiderat : namque omnia ejus membra connexa sunt, quoniam lubrica est, ac fluit » page 392 = « L'histoire n'exige pas tant une prose parfaitement cadencée, qu'une suite de phrases dont le tissu soit bien lié; car tout s'y enchaîne, tout y coule, tout y glisse. »
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